L’éloge de l’escargot face à la frénésie de lièvres
La chronique de Claude Baudry
Lundi 23
MAI 2016
MAI 2016
Deux idées de bonheur, de Luis Sepulveda et Carlo Petrini (Ed. Métailié, 144 p., 16 euros).
Luis Sepulveda est un écrivain chilien, engagé dans la préservation de notre environnement. Il est l’auteur entre autres du Vieux qui lisait des romans d’amour et d’Histoire d’un escargot qui découvrit l’importance de la lenteur. Il est amateur de bonne chère.
Carlo Petrini est un sociologue italien, gastronome, et fondateur à ce titre du mouvement slow food, qui s’appuie sur le respect de la nature et des cycles lents.
Ils étaient faits pour se rencontrer.
Ce livre est né d’une conversation savoureuse et philosophique.
Ces pages font l’éloge de l’escargot face à la frénésie de lièvres de l’industrie alimentaire et de l’agriculture productiviste. Les deux se sont mis à table pour imaginer un autre rapport à la nourriture et à l’environnement.
Ils se prononcent pour le droit au plaisir « le plus révolutionnaire, le plus démocratique, le plus humain des objectifs ». Ils échangent autour de l’idée de bonheur. Pour eux, « manger mieux peut devenir un véritable projet politique ».
Luis Sepulveda est un écrivain chilien, engagé dans la préservation de notre environnement. Il est l’auteur entre autres du Vieux qui lisait des romans d’amour et d’Histoire d’un escargot qui découvrit l’importance de la lenteur. Il est amateur de bonne chère.
Carlo Petrini est un sociologue italien, gastronome, et fondateur à ce titre du mouvement slow food, qui s’appuie sur le respect de la nature et des cycles lents.
Ils étaient faits pour se rencontrer.
Ce livre est né d’une conversation savoureuse et philosophique.
Ces pages font l’éloge de l’escargot face à la frénésie de lièvres de l’industrie alimentaire et de l’agriculture productiviste. Les deux se sont mis à table pour imaginer un autre rapport à la nourriture et à l’environnement.
Ils se prononcent pour le droit au plaisir « le plus révolutionnaire, le plus démocratique, le plus humain des objectifs ». Ils échangent autour de l’idée de bonheur. Pour eux, « manger mieux peut devenir un véritable projet politique ».
Claude Baudry